La Liste présente les événements des membres de l’Association des groupes en arts visuels francophones (AGAVF), soit quinze centres d’artistes et galeries à travers le Canada, et compile les appels de dossiers en arts visuels, arts médiatiques, performance, art public, résidences qui s’adressent aux artistes et aux commissaires.
Nouvelle de l’AGAVF
Lancement de la revue FR
L’AGAVF lançait le 16 septembre la revue FR dont la direction artistique est assurée par Stefan St-Laurent.
Canada: N’oubliez pas d’aller voter aux élections du lundi 20 septembre 2021
Pour plus de détails et autres éléments d’information
Programmation des membres de l’AGAVF
Galerie SAW Gallery (Ottawa)
Shaya Ishaq – Bibliothèque des infinis
du 6 août au 30 octobre 2021
67, rue Nicolas
Ottawa, Ontario
saw-centre.com
Centre d’artistes Voix Visuelle (Ottawa)
Gail Bourgeois et Pira Pirani – Souriez, on vous regarde
du 11 septembre au 12 octobre 2021
67, avenue Beechwood
Vanier, Ontario
voixvisuelle.ca
Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen (Moncton)
Nicholas Aiden, Greg Bennet, Pepa Chan, Hazel May Eckert, José Luis Gonzalez, Ashley Hemmings, John McDonald, Jason Penney, Emily Pittman, Daniel Rumbolt, Mimi Stockland, April Mary Lynn White et Olivia Wong – Chercher refuge | Give Me Shelter
Commissaire : Pan Wendt
du 26 juin au 3 octobre 2021
organisée et mise en tournée par la Galerie d’art du Centre de la Confédération avec l’appui du Conseil des arts du Canada et la Fondation RBC
Université de Moncton
Moncton, Nouveau-Brunswick
www.umoncton.ca/umcm-ga
Maison des artistes visuels francophones (Saint-Boniface)
Danielle Sturk – Jukebox El Toro
du 23 septembre au 27 novembre 2021
101-219, boulevard Provencher
Saint-Boniface, Manitoba
maisondesartistes.mb.ca
Le Trécarré (Pointe-de-l’Église)
Nadine Belliveau, Dany Sheehy, Jane Melanson, Diane Nadon, Denise Comeau, Claude Thériault, Amy Paradis, Jennie Morrow, Jan Swaren, Dianne Surette, Liz Lore, Noella DeMille, Nadine Blinn, Angélina Comeau, Mona Mc Donald, Claude Chaloux et Jay LeBlanc – On Y R’Baille
en juillet et août 2021
Université Sainte-Anne, Nouvelle-Écosse
www.rendezvousdelabaie.ca/galerie-dart
Galerie Sans Nom (Moncton)
Boîte Blanche accueille Dan Xu
du 14 au 21 septembre 2021
140, rue Botsford, local 16
Moncton, Nouveau-Brunswick
galeriesansnom.org
Galerie du Nouvel-Ontario (Sudbury)
Norman Barney – Connexions
résidence à domicile
jusqu’en octobre 2021
54, rue Elgin
Sudbury, Ontario
gn-o.org
Le Labo (Toronto)
Paul Walty, Geneviève Thauvette, Joseph Muscat, Claude Martel, Pascaline Lebras, Samuel Choisy – Exposition virtuelle des artistes du Labo, pendant le festival Scotiabank Contact 2021 –
Regarder en arrière pour aller de l’avant
Causerie vernissage sur notre page facebook
Appels de dossiers
1. appels en français du Canada
Cinéfranco- Toronto – 30 septembre
GGArts 2022 – appel de propositions aux cinéastes – 24 septembre
Hexagram – Montréal – 2 octobre
Centre Clark – Montréal – 1er novembre
Caravansérail – Rimouski – 1er octobre
Ville de Chambly – 3 octobre
Sporobole – Sherbrooke – 20 septembre
Revue Ancrages – Acadie – 15 novembre
2. appels en anglais du Canada
Digifest 2021 – Toronto – Milan – en ligne – 1er octobre
Ar(n)t Write – 1er octobre
Craftivism = craft + activism – Canadian Clay & Glass Gallery – sans date
Images Festival – Toronto – 15 octobre
3. appels internationaux
NYC Open Call – apexart – 31 octobre
Rencontres internationales Paris/Berlin – 30 septembre
European Media Art Festival – Osnabrück – 7 janvier 2022
Rencontres Internationales Sciences & Cinémas – 30 septembre
4. résidences
New Media Gallery micro residency – New Westminster – 28 septembre
Atelier Circulaire – Montréal – 31 octobre
Programme des artistes en résidence Doris McCarthy – Toronto – 30 septembre
5. art public
Passages insolites – Exmuro – Québec – 15 octobre
Brampton Fire and Emergency Services Memorial – 14 octobre
7th Street South & Post Public Art Project – Lethbridge – 2 novembre
BUGA 23 – en cours
6. pour commissaires
Emploi – direction générale – Folie/Culture – Québec – 4 octobre
Performance Research – call for proposals – 27 septembre
Programme Dialogue – Fonds de recherche du Québec – 7 octobre
Contributions – Blockchain Scenes – Journal of Digital Social Research – 15 octobre
Artistc director – Biennale of Sydney – 27 septembre
Being Scene – curator – 24 septembre
Vie des arts – 4 octobre
Centre Clark – Montréal – 1er novembre
esse art + opinion – No. 105 – Dossier Nouvel nouvel age – 10 janvier 2022
1. appels en français du Canada
CINÉFRANCO 2021 : APPEL DE COURTS MÉTRAGES FRANCO-CANADIENS.
*Réservé aux membres du FRIC et du Labo
Afin de soutenir la diffusion d’œuvres audiovisuelles francophones indépendantes, le festival de cinéma francophone, Cinéfranco, programmera une Séance de courts-métrages franco-canadiens pour son édition de 2021 qui aura lieu du 27 octobre au 2 novembre en partenariat avec le Front des réalisateurs indépendants du Canada (FRIC) et le Labo. Cette année, le festival se fera en ligne.
Cet appel est ouvert à toutes les propositions, fiction, documentaire, série web, animation. Les artistes à tous niveaux de carrière sont invités à soumettre leurs films.
DATE LIMITE DE SOUMISSION : 30 septembre 2021 à minuit.
Informations complémentaires pour soumettre une candidature :
Pour soumettre un projet, les artistes doivent remplir les critères suivants :
• Être membre en règle du FRIC ou du Labo
• Être citoyen ou résident du Canada, et francophone en situation minoritaire
Nous accueillons les propositions des artistes et collectifs francophones émergeants et établis s’identifiant à toute communauté et diversité de genres.
Critères obligatoires des projets soumis
• Doit être un projet indépendant
• Durée minimum 2 minutes, durée maximum 20 minutes
Format des films
• H264
• Sous-titres en anglais si possible
Documentation à fournir
• Le titre du film
• Un synopsis de votre court métrage en français et en anglais (max. 150 mots)
• Un lien URL vers votre vidéo en ligne avec le mot de passe.
• Un curriculum vitae (format PDF max. 3 pages)
• Votre numéro de téléphone
• Votre adresse postale
Envoyer le tout à
• Marcelle Lean marcelle [arobas] cinefranco [point] com et à
• Bernard Lecerf bernard [point] lecerf59 [arobas] gmail [point] com
Les résultats seront communiqués aux candidats sélectionnés début octobre 2021.
À propos de CinéFranco
CinéFranco est un des plus importants festivals de films francophones internationaux du Canada anglophone.
Reflétant la diversité des cultures francophones au monde, ce programme a pour mission de présenter et faciliter l’accès au public torontois des films rarement vus ou non distribués dans les salles de cinéma de Toronto. Des comédies endiablées aux drames sociaux, en passant par des suspenses haletants ou encore des documentaires bouleversants, la programmation de Cinéfranco se veut de qualité et extrêmement variée tout en conservant son objectif premier: être populaire et rester accessible. Lors de la cérémonie de clôture, le Prix du Public est décerné, au meilleur long métrage.
Réunissant chaque année des milliers de spectateurs francophones et anglophones, Cinéfranco est devenu une des institutions francophones les plus prisées dans le paysage audiovisuel de Toronto.
À propos du Labo
Le Labo, centre d’arts médiatiques francophone de Toronto, est un centre d’artistes autogéré unique en Ontario. S’attardant sur les sensibilités et réalités uniques de la culture francophone, Le Labo met l’accent sur l’exploration et l’innovation artistiques médiatiques.
En plus de donner à ses membres l’accès à un lieu de production et à des équipements professionnels, Le Labo programme des œuvres d’artistes francophones afin d’être une vitrine de la création francophone à Toronto.
lelabo.ca
À propos du Front des réalisateurs indépendants du Canada (FRIC):
Fondé en 2004, le FRIC est une association professionnelle réunissant les artistes réalisateurs et réalisatrices œuvrant dans la Francophonie canadienne. Il répond à trois besoins : représenter ses membres au plan politique et culturel; favoriser les échanges entre ses membres et les autres acteurs de la production médiatique; travailler au développement professionnel et au rayonnement de ses membres.
Le FRIC est un organisme pancanadien qui a pour but d’appuyer les communautés de la francophonie canadienne et de créer un réseau d’artistes réalisateurs francophones à l’échelle nationale.
lefric.ca
•••••Appel de propositions aux cinéastes
de l’ensemble du Canada pour la réalisation de vidéos afin d’honorer de grands artistes canadiens.
Avis : en raison de la COVID-19 et l’incertitude liée aux restrictions de déplacements (qui pourraient se resserrer au cours des prochains mois), il est possible que les portraits vidéo GGArts 2022 ne puissent pas être réalisés sur place. Dans cette éventualité, ils devront être produits à distance, sans pouvoir rencontrer et filmer physiquement les gagnants.
L’Alliance des arts médiatiques indépendants (AAMI) et le Conseil des arts du Canada (CAC) s’associent de nouveau pour rendre hommage aux gagnantes et gagnants des Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques (GGarts).
Nous cherchons à jumeler des cinéastes du Canada avec les gagnantes et gagnants des GGArts de 2022 pour créer un portrait vidéo artistique (3 minutes maximum) et une vidéo promotionnelle (30 sec). Nous encourageons aussi les centres de production et les cinéastes à conclure une entente sur les coûts des services et des équipements nécessaires pour réaliser ce projet.
La contribution des cinéastes mandatés pour ces portraits vidéo sera reconnue de multiples façons. Les portraits vidéo seront présentés sur le site web et la page YouTube du Conseil. Ils seront mis en valeur ou diffusés sur les médias sociaux, les sites web de partenaires et lors de divers événements. Les vidéastes retenus et les membres de l’AAMI sont aussi encouragés à diffuser ces œuvres sur leurs sites web et leurs réseaux sociaux.
Éléments clés de cette campagne nationale, ces vidéos visent à mieux faire connaître les gagnantes et gagnants, les arts visuels, les arts médiatiques et les métiers d’art au Canada.
Chaque œuvre doit être un portrait artistique de la gagnante ou du gagnant. La ou le vidéaste mandaté a le plein contrôle créatif de l’œuvre. Le portrait célébrera les réalisations de la gagnante ou du gagnant et les répercussions de son parcours sur la vie des Canadiennes et des Canadiens. Le Conseil se réserve le droit de diffuser les portraits vidéo à des fins promotionnelles. Les vidéastes mandatés conserveront les droits d’auteur et de propriété intellectuelle de leur œuvre et pourront l’utiliser à des fins de promotion de leurs réalisations.
Budget (max.) : 7 000 $
Date limite pour soumettre une proposition : vendredi 24 septembre, 2021
Date limite pour poser des questions au sujet de la demande : vendredi 17 septembre 2021
Contexte
Créés en 1999 par le Conseil des arts du Canada et le gouverneur général du Canada, ces prix sont décernés chaque année pour souligner une carrière remarquable dans les domaines suivants :
• Arts visuels
peinture, dessin, photographie, estampe, sculpture, installation et performance, architecture
• Arts médiatiques
cinéma ou vidéo indépendants, nouveaux médias, audio
• Contribution exceptionnelle à titre bénévole ou professionnel
• Métiers d’art (prix Saidye-Bronfman)
POUR CANDIDATER :
Date limite pour soumettre une proposition : vendredi 24 septembre, 2021
Consultez le site web : https://conseildesarts.ca/a-propos/demande-de-propositions
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter Sylvain Laporte au 1-800-263-5588 poste 5270 | 613 566- 4414 poste 5270.
Veuillez fournir tous les renseignements dans un seul document PDF. Les propositions doivent être envoyées par courriel à Sylvain Laporte : sylvain [point] laporte [arobas] canadacouncil [point] ca
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DATE LIMITE / 1ER NOVEMBRE 2021
Le Centre CLARK invite les artistes, les collectifs et les commissaires à soumettre un projet d’exposition pour notre appel de dossiers général. Qu’il s’agisse d’exposer les œuvres d’artistes émergents ou aguerris, locaux ou internationaux, CLARK soutient une pluralité d’approches et de pratiques artistiques novatrices et expérimentales. Notre programmation annuelle présente une multiplicité de voix, de perspectives, d’héritages, de points de vue et d’expériences qui se traduisent en autant de formes d’art actuel. Cette multiplicité se concrétise entre autres par l’inclusion d’une pluralité culturelle, par l’échange intergénérationnel et par l’équité des genres.
TOUS LES DÉTAILS ICI :
https://centreclark.com/fr/galerie/
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1er solo 2022-23 & 2023-24 / Caravansérail
1 octobre 2021
/ Rimouski (Québec)
CARAVANSÉRAIL INVITE LES ARTISTES N’AYANT JAMAIS EXPOSÉ EN SOLO À SOUMETTRE LEUR DOSSIER POUR SES PROGRAMMATIONS ANNUELLES 2022-23 ET 2023-24
PROJET D’EXPOSITION
Caravansérail recherche des propositions variées dans le but de constituer une programmation annuelle représentative de la diversité des pratiques en arts visuels actuels. Le Centre soutient la recherche et l’expérimentation ainsi que la circulation des œuvres.
CRITÈRES D’ADMISSIBILITÉ
Être un·e finissant·e d’une formation en arts, un·e autodidacte et/ou un·e artiste n’ayant jamais exposé en solo.
SPÉCIFICITÉS DU LIEU
Située dans un ancien cinéma, la salle d’exposition de Caravansérail est marquée par un plancher incliné et un plafond particulièrement haut. Les propositions doivent considérer ces caractéristiques inhabituelles.
Pour les détails, consultez-le : https://www.caravanserail.org/plans-et-equipements.
CONDITIONS D’ACCUEIL
Soutien à la coordination, à la diffusion et à la promotion de l’exposition ;
Aide au montage et au démontage ;
Documentation photographique ;
Droits d’exposition selon les barèmes CARFAC ;
Droits de communication et de reproduction publiques ;
Financement partiel ou total, selon les capacités du Centre, des frais de déplacement et de séjour.
Période de diffusion : entre septembre 2022 et juin 2024
CANDIDATURE
Les artistes intéressé•e•s doivent soumettre un dossier comprenant les éléments suivants :
Leurs coordonnées complètes (adresse postale et électronique, numéro de téléphone) ;
Un curriculum vitæ (3 pages maximum) ;
La présentation de leur démarche artistique (environ 250 mots) ;
La description de leur projet d’exposition (environ 500 mots) ;
Un dossier visuel présentant des réalisations récentes (un maximum de 15 images numériques et/ou un document vidéographique d’une durée maximale de 5 minutes) ;
Une liste descriptive des œuvres ;
Tout autre document jugé pertinent (publication, revue de presse, besoins en équipements, budget, etc.).
À noter que les documents textuels doivent être en format PDF et que tout dossier incomplet sera refusé.
Par souci d’inclusion et de représentativité, Caravansérail encourage les artistes sous-représenté•e•s dans le milieu des arts visuels actuels à déposer leurs dossiers.
Les candidatures doivent être envoyées par courriel à : communication [arobas] caravanserail [point] org.
Dans l’objet du courriel, veuillez inscrire l’intitulé suivant : Programmations annuelles 2022-23 & 2023-24 (1er solo)
Date limite : 1er octobre 2021
En savoir plus
Caravansérail
274 rue Michaud
Rimouski (Québec) G5L 6A2
+1 418.722.0846
communication [arobas] caravanserail [point] org
http://www.caravanserail.org/
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Programmation 2022 / Ville de Chambly
3 octobre 2021
/ Chambly (Québec)
La Ville de Chambly souhaite offrir une tribune aux artistes créateurs et rendre l’art accessible pour tous. Elle propose deux lieux de diffusion aux artistes en arts visuels, le Corps de garde du lieu historique du Fort-Chambly et le Pôle culturel de Chambly. Les artistes souhaitant exposer leurs projets sont invités à soumettre leur candidature.
COMPOSITION DU DOSSIER
Curriculum vitæ à jour
Démarche artistique récente
Résumé d’une page du projet artistique proposé
Dix images numériques (JPEG seulement)
Liste descriptive des œuvres présentées (titre de l’œuvre, dimensions, médium et année de création)
Proposition d’activité de médiation culturelle en lien avec le projet d’exposition (facultatif)
Dossier de presse (facultatif)
CONFORMITÉ DU DOSSIER
Aucun lien vers un site Web ou une page Facebook ne sera accepté.
Le dossier doit être conforme pour être soumis au jury.
Les résultats de la sélection seront communiqués en novembre 2021.
Les dates et le lieu d’exposition seront déterminés par la Ville de Chambly.
ENVOI DU DOSSIER
Par courriel SEULEMENT, à l’adresse suivante : loisirs [arobas] ville [point] chambly [point] qc [point] ca.
Les images peuvent être transmises par WeTransfer.
Un accusé réception sera transmis à la réception du dossier.
DATE LIMITE : dimanche 3 octobre 2021
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SPOROBOLE lance un nouveau cycle de résidences de recherche-création-production et invite les artistes du Québec-Canada et de l’international* à soumettre des projets pour l’un ou l’autre des quatre programmes de résidences que nous proposons, et qui couvriront la période de septembre 2021 à juin 2023.
Ce cycle sera axé sur les notions de réel / virtuel, leur frontière, leur porosité possible. La virtualisation quasi généralisée des communications, de l’éducation et de nombreuses activités culturelles et de loisir cette dernière année nous force à reconsidérer notre rapport au monde physique. Comment les échos de la matérialité dans l’univers numérique se manifestent-ils? Sont-ils devenus nos nouveaux points d’attache? Quelle forme cet espace liminal entre virtuel et réel peut-il prendre?
Cet arrière-plan thématique guidera les choix du comité de programmation dans la sélection des projets.
*Les transports hors Québec devront, a priori, faire l’objet d’une prise en charge par l’artiste appliquant. Cet aspect peut être discuté.
Chaque résidence comprend :
Cachet de résidence et perdiems – 875$/semaine;
Remboursement du transport (territoire québécois);
Hébergement privé;
Assistance technique;
Accompagnement réflexif.
Les conditions spécifiques (si applicables) suivent dans la description de chaque appel.
Les plages spécifiques de résidences seront discutées avec chacun des artistes et déterminées selon leur disponibilité.
Les dossiers reçus seront évalués par un comité de sélection et conservés pour une période de 2 ans.
Seuls les artistes dont les projets sont retenus seront contactés.
Date de tombée pour la réception des dossiers : 20 septembre 2021.
PROJETS ‘ART GAME’ – APPEL MULTI CENTRES
PROJET POUR UNE PLATEFORME D’IMMERSION SONORE VIRTUELLE
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La revue acadienne de création littéraire Ancrages cherche des textes et de l’art visuel
No 30 Échange avec la Revue Feux Follets
Date : 15 novembre 2021
Un appel à textes pour parler de la distance entre le Nord pis Sud. Entre le Coude pis Lafayette. Entre la Nouvelle-Orléans pis Bouctouche. Entre un homard pis un écrevisse. Entre le Bayou Lafourche et l’Atchafalaya. Entre Codofil, la Fane pis une ploye. Entre Emeline LaBiche et Évangéline, Gabriel Bellefontaine et Beausoleil. Rien de ça du tout ou tout en même temps.
Ou pour parler du rapprochement. D’y être. Des textes qui parlent des regards, des mines qu’on reconnait tout de suite. De la parenté. Du territoire qu’on habite.
Ou pour parler de chanter, de danser et de grouiller dans le mot de la langue. Dans tout ce que la chaleur peut inspirer.
Un appel à textes dans le français qui habite la personne.
En collaboration avec la revue Feux Follets.
Veuillez envoyer vos textes à l’adresse appel [arobas] ancrages.ca . Prière de consulter le protocole de soumission. Merci d’indiquer dans l’objet du courriel le numéro de l’édition pour lequel vous soumettez.
Artistes visuel : La revue reçoit vos portfolios électroniques. Veuillez envoyer un lien vers votre site web.
Ancrage accompagne les auteurs et autrices et se réserve le droit, au terme de ce processus d‘échange éditorial, de publier ou non le texte conformément au contrat de publication signé avec l’auteur ou l’autrice.
2. appels en anglais du Canada
Digifest 2021 Call for Submissions
George Brown College, Online/Toronto & Milan
Deadline: October 1
Digifest, an annual festival on innovation and digital creativity, invites proposals from artists, creators and designers to present orexhibit virtual art work at this year’s online event on November 19.
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Ar(n)t Write is excited to announce an open call for artists writing about other artists!
Ar(n)t Write is an artist-run public platform for artists to share a variety of writings about
artistic work. The aim of the platform is to reinforce artistic communities and encourage
writing about art-making.
All selected submissions will be posted on Ar(n)t Write website and instagram page.
A
portion of selected submissions will be printed as part of the quaterly Ar(n)t Write Zine
(circulated in Vancouver, BC). Published participants receive up to 5 copies of the zine.
The current deadline is October 1st.
To submit please follow the guidelines on our website:
https://arntwrite.wixsite.com/home/submit
Digital version of our previous issue is available on our website:
https://arntwrite.wixsite.com/home/post/ar-n-t-write-issue-1
Follow us on instagram: @arntwrite
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Craftivism = craft + activism
Call for Proposals
The Canadian Clay & Glass Gallery is seeking project proposals from Canadian artists on the theme of craftivism for a potential major solo or group exhibition.
We are looking for large scale projects in the craft of ceramics, glass or copper enameling that push the boundaries of contemporary craft and installation art. We want your wild ideas and collaborations. Surprise us with something powerful that will make a statement and command attention when installed in one of our Galleries. Proposals should engage with current Canadian social issues to start conversations, education, and sharing towards the greater good. These proposals will be considered for potential exhibitions in future programming seasons at the Canadian Clay & Glass Gallery (Waterloo, Ontario), with the possibility to circulate across the country.
Projects can include community involvement, workshops, or other initiatives. The resulting exhibition can extend beyond the walls of the gallery into the community, public spaces, and more. We’re looking for truly innovative approaches to contemporary exhibitions. Show us your creativity and vision for an exhibition that brings the community together both physically and visually.
As Ele Carpenter writes in Activist Tendencies in Craft: “In these practices the social, performative and critical discourse around the work is central to its production and dissemination. Here craft is not simply a luddite desire for the localized handmade, but a social process of collective empowerment, action, expression and negotiation.” (Arnolfini Journal, April 2010)
Proposals should include:
- CV or resume of creator (PDF format)
- A single PDF document including:
1. Proposal title
2. List of participants (if known)
3. Rationale for the project
4. Social issue addressed
5. Description of the planned artworks, processes, and installation including any unique installation requirements
6. Description of possible educational or public engagement activities
7. Materials needed
8. Project timeline
9. Draft budget items and costs (including CARFAC fees for artists – Category II Institution) - Up to 5 supporting images (past work or concepts for the proposal)
For information call Denis at 519-746-1882 x: 231 or by email at denis [arobas] theclayandglass [point] ca
We welcome submissions that are representative of the diversity of our community and encourage proposals from artists of colour, Indigenous artists, Deaf artists, artists with disabilities, and members of the LGBTQ2S+ community. If you require accommodations or assistance with your proposal, contact Denis Longchamps.
About the Canadian Clay & Glass Gallery
The Canadian Clay & Glass Gallery celebrates contemporary ceramic and glass artists engaged in conceptual, technical or material research. Located in Waterloo, Ontario, we are a not-for-profit institution that aims to collect, exhibit, research, promote, and preserve work by Canadian artists and makers in clay, glass, and copper enameling to represent the diversity of the Canadian landscape. Our rotating exhibitions celebrate and support diverse artists from across Canada working in these mediums and present their work to the public. Through exhibitions that address current and relevant issues, and public programs that engage, educate, and inspire, we are accessible to all. An essential organization within the Canadian cultural landscape, the Canadian Clay & Glass Gallery is a site of leadership that influences craft, design, and fine art communities.
A relevant and dynamic cultural organization, the Gallery provides supportive education programs to people from across the region. Using exhibitions as a starting point, individuals develop arts vocabulary, arts appreciation and cultivate confidence in their interpretation of contemporary artworks. People who return to The Canadian Clay & Glass Gallery many times come to understand that the Gallery is a space with dynamic exhibitions, ever-changing hands-on programs and multiple opportunities for learning.
Land Acknowledgement
We acknowledge that the Canadian Clay & Glass Gallery is located on the traditional territory of the Attawandaron, Anishinaabe and Haudenosaunee peoples. The Gallery is situated on the Haldimand Tract, land promised to Six Nations in 1784 that includes six miles on each side of the Grand River; yet, today, the Six Nations reside on less than five per cent of this unceded territory. Indigenous peoples have inhabited this land for thousands of years, and we respectfully share this territory in peace and friendship. We are grateful and we re-affirm our commitment to do the work, to unlearn and relearn, towards a true reconciliation.
Canadian Clay & Glass Gallery
25 Caroline St. N.
Waterloo, ON N2L 2Y5
519-746-1882
www.theclayandglass.ca
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Images Festival invites you to submit works to our 2022 Call for Submissions! Check out our calls for ON SCREEN (including Student Submissions), OFF SCREEN + LIVE, and GUEST PROGRAMMER.
3. appels internationaux
NYC Open Call invites exhibition proposals for 2022-2023 season
apexart
Application deadline: October 31
apexart
291 Church Street
New York, NY 10013
USA
Hours: Tuesday–Saturday 1–6pm
T +1 212 431 5270
info [arobas] apexart [point] org
apexart.org
apexart is accepting exhibition proposals for its NYC Open Call from October 1–31, 2021. Five winning proposals will become apexart exhibitions presented at apexart’s NYC space as part of its 2020-21 exhibition season. Curators, artists, writers, and creative individuals, regardless of experience level or location, are invited to submit a proposal online.
The submission process
Proposals should describe focused, idea-driven, original group exhibitions. No biographical information, CVs, links, or images will be accepted. Submissions cannot exceed 500 words and must be submitted in English. Jurors rate proposals based on their content and the organizer’s ability to communicate, rather than by familiar names or past accomplishments. See examples of past winners here.
The selection process
Rather than convene a small panel to review hundreds of ideas, apexart’s crowd-sourced voting system allows hundreds of jurors to individually review proposals. An international jury composed of 400+ individuals from a wide variety of professional backgrounds—including students at over 10 international universities—will jury the proposals. Proposals are anonymous and randomized to make sure each submission receives the same consideration. apexart staff does not influence the results of the jury in any way.
The results
The five winning proposals will each receive an exhibition budget of 10,000 USD, staff support, and be part of apexart’s 2022-2023 exhibition season. Working closely with the apexart team, curators will realize their original ideas into apexart exhibitions. Exhibition curators are expected, encouraged and challenged to work within the funding provided to transform their winning proposals into small, focused, noteworthy exhibitions.
To submit an exhibition proposal, visit here between October 1-31, 2021.
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Appel à proposition 2022, prolongation
L’appel à proposition pour les Rencontres Internationales Paris/Berlin 2022 est prolongé jusqu’au 30 septembre 2021. Événement incontournable dédié aux pratiques contemporaines de l’image en mouvement, les prochaines Rencontres Internationales se dérouleront à Paris en février 2022 et à Berlin en août 2022. Elles proposent chaque année une programmation internationale inédite, réunissant des oeuvres d’artistes et de réalisateurs reconnus sur la scène internationale aux côtés de jeunes artistes, et de réalisateurs présentés pour la première fois à Paris et Berlin.
Proposer une œuvre →
Film, vidéo, multimédia
Tout individu ou organisme peut effectuer une ou plusieurs propositions, sans limitation de provenance géographique. L’appel à proposition est ouvert pour les cycles film, vidéo et multimédia, sans restriction de genre et de durée.
Film et vidéo
► Vidéo / Vidéo expérimentale
► Fiction, fiction exp. / Court, moyen, long métrage
► Documentaire, documentaire exp.
► Film expérimental
► Animation
Multimédia
► Installation vidéo, installation multimédia
► Vidéo 360°, art VR/XR
► Performance/concert multimédia
Pour faire une proposition
Vous avez la possibilité de choisir entre deux types d’inscription :
► Propositions pour la programmation principale.
► Propositions pour le Moving Image International Art Prize.
Lire plus sur notre site web →
Les inscriptions sont prolongées jusqu’au 30 septembre 2021.
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CALL FOR ENTRIES
The Call for Entries for the 35th European Media Art Festival is now open.
The deadline is 7 January 2022.
Films, videos, installations and performance projects or expanded media works – we look forward to receiving your entries for the European Media Art Festival No. 35!
The festival takes place from 20 to 24 April 2022. For five days, Osnabrück will again become an international and trend-setting platform for media art and a meeting place for artists, curators, researchers and students. The exhibition at Kunsthalle Osnabrück will be on view until 29 May 2022.
Our selection committee and curators will review the submissions in the coming months and develop the programme for the upcoming festival. The full programme will be available on our homepage www.emaf.de from mid-March 2022.
EMAF pays artist fees for all works selected for the festival.
At the festival, two juries will select the winners of the “EMAF Media Art Award of German Filmcritics (VDFK)”, the “Dialogue Award” and the “EMAF Award” for a trend-setting work in Media Art.
Please find our submission platform and festival regulations here:
https://registration.emaf.de/en/
We look forward to receiving your work!
Contact
European Media Art Festival
Lohstraße 45a
D-49074 Osnabrück
info [arobas] emaf [point] de
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APPEL À FILMS / CALL FOR FILMS
14E ÉDITION DES RENCONTRES INTERNATIONALES SCIENCES & CINÉMAS (RISC)
La 14e édition des Rencontres Internationales Sciences & Cinémas (RISC) se déroulera du 18 au 26 mars 2022 à Marseille (et villes alentours).
Le festival propose de découvrir une programmation de courts, moyens et longs métrages (documentaire, fiction, expérimental, art vidéo, animation…) issus d’une sélection internationale, et dont le thème et/ou la démarche témoignent d’une forte proximité (ou affinité) avec des champs de la recherche scientifique (incluant les sciences humaines et sociales), en présence des cinéastes et de chercheur.e.s invité.e.s à venir rencontrer le public après chaque projection.
L’inscription des films se fait uniquement via la plateforme Docfilmdepot (créée par l’association Ardèche Images).
The 14th edition of the Rencontres Internationales Sciences & Cinémas (RISC) will take place from March 18 to 26, 2022 in Marseille (France) and surrounding cities.
The festival offers to discover a program of short, medium and feature films (documentary, fiction, experimental, video art, animation…) from an international selection, and whose theme and / or approach testify to a close proximity / affinity with fields of scientific research (including human and social sciences), in the presence of filmmakers and researchers invited to come and meet the public after each screening.
Films can only be submitted via the Docfilmdepot platform (created by the Ardèche Images association).
DATE LIMITE / DEADLINE
30 septembre 2021 / September 30th, 2021
4. résidences
New Media Gallery micro residency returns for the 2021-2022 season. This is a learning
residency that gives access to equipment, knowledge and space for artists at every stage of
their career to experiment with or include new media into their practice. The residency
offers access to experienced NMG staff, the Learning Lab and all its available equipment.
Artists of all backgrounds and ages are invited to submit proposals. All applications will be
seriously considered. We will consider proposals from applicants without a formal CV. We
will consider proposals from those without technological experience. For this Residency we
hope to support Black, Indigenous, People of Colour, Gender Diverse and Senior Artists
who demonstrate a desire to experiment with technologies. We also hope to
encourage
applications from those who may not have the resources to afford expensive technology.
Application deadline is September 28, 2021. Visit
https://newmediagallery.ca/microresidency21/ for more information.
New Media Gallery
3rd Floor Anvil Centre
777 Columbia Street
New Westminster, BC V3M 1B6
E: education [arobas] newmediagallery [point] ca
W: newmediagallery.ca/programs
IG: nmg_steam
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APPEL DE DOSSIERS _ Résidences d’artiste
À travers son programme de résidence, l’Atelier Circulaire reçoit dans ses ateliers de production des artistes du monde entier.
Ces résidences sont l’occasion d’échanges entre les artistes invités et nos membres. À la fin de leur séjour, les résident·es offrent une présentation de leur travail au public.
Date limite : 31 octobre 2021
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Le Programme des artistes en résidence Doris McCarthy accepte les demandes pour 2022
TORONTO, le 8 juill. 2021 /CNW/ – La Fiducie du patrimoine ontarien accepte désormais les candidatures au Programme des artistes en résidence Doris McCarthy pour 2022. Les périodes de résidence sont disponibles tout au long de l’année 2022, avec des durées flexibles allant de un à trois mois. La date limite de candidature est le 30 septembre 2021.
Ce programme est ouvert aux artistes professionnels canadiens pratiquant un large éventail de disciplines. Les artistes auront l’occasion de vivre et de créer dans le cadre naturel inspirant du Centre des artistes en résidence Doris McCarthy, appelé le « Paradis d’une folle », les anciens studio et maison de la célèbre paysagiste canadienne Doris McCarthy.
Situé sur les falaises Scarborough à Toronto, le « Paradis d’une folle » offre un environnement tranquille aux artistes qui cherchent à s’évader, à se ressourcer et à se concentrer sur leur art – dans le sanctuaire où Doris McCarthy habitait.
Pour en savoir plus et remplir un formulaire de demande, rendez-vous sur www.heritagetrust.on.ca/pardm.
Le programme et l’utilisation du « Paradis d’une folle » permet à la Fiducie d’illustrer les nouvelles utilisations créatives et dynamiques des espaces patrimoniaux. Dans le cadre de la période de résidence, les artistes sont tenus d’offrir du mentorat pour favoriser le développement d’un ou de plusieurs artistes émergents.
Doris McCarthy a fait don de sa maison à la Fiducie en 1998 dans l’intention expresse de permettre à d’autres artistes d’avoir la même possibilité de vivre et de travailler sur le site qui a tant favorisé sa propre expression artistique. Elle y a vécu jusqu’à sa mort en 2010. La Fiducie a lancé le Programme des artistes en résidence en 2015 pour mettre en valeur l’héritage artistique et culturel de Doris McCarthy en montrant la valeur inspiratrice du paysage et en promouvant l’excellence dans les domaines de l’art, de la musique et de l’écriture canadiens. À ce jour, la Fiducie a accueilli 43 artistes au « Paradis d’une folle ».
La Fiducie accepte les demandes d’artistes pratiquant diverses disciplines créatives, ainsi que d’artistes issus de milieux sous-représentés. Ce programme est généreusement soutenu par le projet Artistes émergents RBC.
Faits en bref :
Doris McCarthy (1910-2010) était l’un des paysagistes canadiens les plus renommés de la seconde moitié du XXe siècle, qui a travaillé dans sa maison, le « Paradis d’une folle », pendant près de 70 ans.
Mme McCarthy a fait don du « Paradis d’une folle » à la Fiducie du patrimoine ontarien en 1998 afin d’en préserver les valeurs pittoresques, esthétiques, naturelles et culturelles, en souhaitant qu’après sa mort, il devienne un centre de résidence pour les artistes et un lieu d’activités patrimoniales.
À ce jour, 43 artistes ont obtenu des résidences au « Paradis d’une folle ».
La Fiducie œuvre avec la galerie Doris McCarthy (Université de Toronto à Scarborough), l’Université de l’EADO, l’Ontario Society of Artists et la Writer’s Union of Canada à la conception du programme.
5. art public
9e édition de PASSAGES INSOLITES (2022)
Alors que la huitième édition de PASSAGES INSOLITES bat son plein, l’équipe d’EXMURO arts publics prépare la prochaine itération de son événement phare en arts publics éphémères. La neuvième édition de PASSAGES INSOLITES aura lieu dans la ville de Québec au cours de l’été 2022.
Date de tombée : vendredi 15 octobre 2021 à 16 h 59
Télécharger l’appel de dossier au format pdf
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Call for Expressions of Interest: Brampton Fire and Emergency Services Memorial
The City of Brampton invites professional artists and artist-led teams to submit expressions of interest to create a new Brampton Fire and Emergency Services Memorial. Artists must reside in, and be legally permitted to work in Canada.
This Call to Artists for Expressions of Interest is the first stage of a two-stage competitive process:
Stage One: A review of expressions of interest by a selection panel of project stakeholders; and,
Stage Two: Invitations to a shortlist of eligible artists to submit a design proposal. The successful artist will be selected at this stage.
The total budget for this project is $300,000 CAD including HST.
The submission period for Stage One will be open until October 14, 2021, at 2 pm.
For more information and to download the Call to Artists document, visit brampton.ca/publicart.
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Request for Proposals: 7th Street South & Post Public Art Project, City of Lethbridge
Request for Proposals – 7th Street South & Post Public Art Project
The City of Lethbridge is inviting Artists to submit Request for Proposals for a public art project in conjunction with the recent modernization and repurposing of the city’s historical post office and the replacement of an adjacent sidewalk. The art project provides three distinct installation opportunities:
A major walkway connecting the downtown transit hub with the center of downtown
A metal divider adjacent to the loading area for the modernized facility
A series of ground level windows in the building adjacent to the newly upgraded sidewalk
Proposed artworks should enhance the buildings south wing while respecting the original building’s historical presence and value as well as creating an enjoyable pedestrian journey. The selected artist will be responsible for conceptualizing, designing, fabricating and installing permanent artworks that add vibrancy to the downtown environment and improve the pedestrian experience.
7th Street
7th Street serves as a primary pedestrian street with some of the highest pedestrian volumes in Downtown. It connects the Lethbridge Park ’n Ride Transit Terminal to the heart of the downtown core which includes many businesses, Galt Gardens urban park, a community arts centre, a contemporary art gallery and a downtown retail shopping mall. The street is also a designated bicycle travel route and will have cycle lanes constructed in Spring 2022. As part of the Post Office redevelopment project and the 7th Street cycling lanes, restorative work is planned for the sidewalk with the inclusion of a snowmelt heating system.
The Post Building
“Post” is the new name for the building formerly known as the J.D. Higginbotham Building and locally referred to as the downtown Canada Post building. The classic beaux-arts Tyndall stone building has been a local landmark since its construction as the result of an investment from the federal government over one hundred years ago.
Today, the building is privately owned through investments from local parties. The rebrand to Post, along with extensive redevelopment of the buildings dated office space, are important indicators of the historical building’s transition from a federally owned facility to a locally held private entity. The building’s redevelopment is designed to turn the landmark into a vibrant new hub for downtown businesses and innovation through an offering of individual office condo units.
Budget
The all-inclusive budget for the design, fabrication and installation of the 7 Street South & Post Public Art Project is $180,000 plus GST. This fee will be inclusive of all project costs.
Eligibility
The competition is open to qualified professional visual artists as defined by the Canada Council for the Arts. This professional context excludes the school environment, and so a student attending college or in an undergraduate degree program at a university may not enter this competition.
Proposal Submission
Interested artists are invited to view complete RFP details, submit questions and submit proposals at: COL-21-78 – 7 Street South & Post Public Art Project
This opportunity closes on: November 2, 2021
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In partnership with the German Federal Horticulture Show—BUGA 23—the Land Art Generator will launch a transformative renewable energy design challenge in March of 2022 with $40,000 in prize awards. To learn more, join BUGA 23: Platform at 6 PM Central European Time (12 PM Eastern Time) on Thursday, June 24.
As a part of the German Bundesgartenschau (BUGA 23) that will open in Mannheim in 2023, the latest LAGI design challenge brings together a number of themes and ideas for inspiration.
Just as a garden is a productive landscape for nourishment that also brings us joy and pleasure, how can we re-imagine our energy landscapes so that they too bring joy and pleasure for our communities?
LAGI 2022 will invite proposals for renewable energy systems designed with a social lens for a range of scales around the City of Mannheim—from the private garden to the city square.
LAGI 2022 Mannheim will expand what is possible using existing clean energy technologies to create beautiful, sculptural modules that can plug into the smart postcarbon city.
Selected design entries to LAGI 2022 Mannheim will be included in a new book to be published by HIRMER and featured in an exhibition at BUGA 23 with expected attendance in the millions. The top two designs as chosen by the jury will receive cash awards of $30,000 and $10,000 USD.
More about BUGA 23
The German federal garden show (“BUGA”*= short for “Bundesgartenschau”) will be taking place in Mannheim from April through to October 2023. BUGA 23 is a lot more than just a flower show: It will improve the sustainable quality of life and lifestyle in Mannheim. Over seven Kilometers long, a stretch of green, will create new places to walk, play and relax, at the same time improving the city’s air quality and climate. BUGA is also part of Mannheim`s North East Green Corridor Project, connecting 230 hectares of green areas forming a corridor stretching into the city centre.
One major highlight will be a 2 km long overhead cable car system spanning the river Neckar, and connecting Luisenpark with the new BUGA-Grounds.
Creating a healthy environment for Mannheim’s future, climate-neutral in harmony with the natural environment, BUGA 23 is an innovative experimental field for living together in the city sustainably. It complies with the UN Sustainability goals which are incorporated in Mannheim`s mission statement for 2030. Solutions to problems and challenges of our time will be explored relating to climate, the environment, sustainable agricultural production and food security.
6. pour commissaires
Offre d’emploi – Direction générale
Folie/Culture, qui organise des activités artistiques et sociales de sensibilisation en santé mentale, est à la recherche d’une personne dynamique et responsable pour assurer la direction générale de l’organisme.
L’organisme trouve essentielle la barre oblique entre Folie et Culture. Il s’agit de maintenir toujours en questionnement ce qui est « folieculturien », c’est-à-dire ce qui se trouve entre l’art et la santé mentale, les liens et écarts entre les deux. Nos thématiques et activités sont marquées du sceau de cette réflexion.
Sommaire du poste
Sous la responsabilité du conseil d’administration, la personne à la direction générale assure le développement de l’organisme, son financement, son rayonnement, les relations avec ses partenaires et la gestion de ses ressources organisationnelles. En collaboration avec le comité de programmation, elle assure également l’élaboration de la programmation.
Principales responsabilités
• Soutenir le conseil d’administration dans l’élaboration des orientations et la prise de décisions.
• Garantir la santé financière de l’organisme par une utilisation optimale des ressources, par la rédaction des demandes de subvention tant dans le domaine artistique que celui de la santé mentale, et par la recherche active de nouvelles sources de financement.
• En collaboration avec le comité de programmation, établir une programmation annuelle équilibrée et en assurer le suivi et la réalisation.
• Coordonner les ressources humaines des ressources humaines en favorisant une gestion participative et un climat sain et dynamique.
• Promouvoir et représenter l’organisme, et saisir les occasions de développement auprès de différentes instances et organisations tant dans le milieu artistique que celui de la santé mentale.
Compétences et habiletés personnelles requises
• Sens de la planification et de la gestion.
• Bonne connaissance du milieu de la santé mentale et du milieu de l’art contemporain.
• Bonne connaissance des programmes gouvernementaux de financement et expérience en rédaction de demande de subventions.
• Connaissance des techniques et outils de gestion budgétaire.
• Aptitude pour le travail d’équipe, les relations publiques et l’implication communautaire.
• Connaissance des structures des OBNL.
• Sensibilité aux valeurs et préoccupations de l’organisme.
• Maîtrise du français et de l’anglais parlé et écrit.
• Diplôme universitaire en gestion d’organismes culturels, un atout.
Exigences
• Diplôme de 1er cycle universitaire dans une discipline appropriée, ou équivalent.
• Expérience en gestion d’organisme.
Conditions
• 35 heures par semaine, flexibilité pour réunions et événements exigée.
• 4 semaines de vacances payées après une année de services continus.
• 18 jours de congé férié payés, dont 8 jours mobiles pendant le temps des Fêtes.
• 1 journée de congé de maladie par mois.
• Salaire de base de 25 $ l’heure.
• Entrée en fonction : dès que possible.
Les entrevues auront lieu dans la semaine du 4 octobre 2021.
Merci de faire parvenir votre curriculum vitæ accompagné d’une lettre de présentation.
Les candidatures doivent être envoyées au plus tard le 19 septembre à l’adresse suivante : fc [arobas] folieculture [point] org.
Une description détaillée du poste sera disponible sur demande.
Notez bien que seules les personnes retenues pour une entrevue seront contactées.
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DEADLINE REMINDER: Call for Proposals
Vol. 27, No. 4: ‘On Care’ (June 2022)
Proposal Deadline 27 September 2021
Issue Editors:
Felipe Cervera (LASALLE College of the Arts, Singapore)
Helena Grehan (Murdoch University, Australia)
Kristof van Baarle (University of Antwerp, Belgium)
This issue of Performance Research seeks to expand on and advance ideas and practices of care. During the last decade, the arts have adopted care as a hands-on concept to rethink how work is created and how it relates to its audiences. Increasingly aware that care is a performative practice that also requires imagination (Hamington 2010), artists have investigated what an aesthetics of care could be, and have sought ways to take care of one another during the creative process, even extending that care well beyond the boundaries of their work and of the communities they assemble. Similarly, arts organizations feel the need to take better care of the people and structures they consist of—an act that requires a change to these structures and institutions, which are often already in a state of crisis. Yet, if the last decade can be characterized in any way, it would probably be relative to the speed with which new crises emerge, challenging any form of established sociality and therefore the ways we think and engage with care. How we might think of care now—as an idea, a practice, a politics and/or an actuality that answers to the fluidity of contemporary crises and situations?
The ‘care’ turn in artistic practice responds to a similar turn in the wider humanities, with louder voices calling for critical and interdisciplinary articulations. For example, Joan C. Tronto asks:
How do we go from a society that is primarily concerned with economic production to one that also emphasizes care? … To do so, we have to re-imagine democratic life as ongoing practices and institutions in which all citizens are engaged. This engagement presumes that relational selves, who need ongoing participation as both receivers and givers of care, will be central in making judgments about responsibility. (Tronto 2013: 169)
Contextualizing this in performance studies, Amanda Stuart Fisher emphasizes that ‘performance’ and ‘care’ co-relate to each other to the extent that ‘it is impossible to conceive of caring practice outside the parameters of how it is performed’, and therefore it ‘exists only as a live encounter and within a specific juncture of time and space’ that ‘involves forms of embodied knowledge’ (2020: 7). Similarly, Stuart Fisher builds on this to signal that while the two fields have a natural convergence that enables a re-thinking of performance practice in multiple ways, at the same time
importing the values and practices of care into performance… can also become a mode of critique, offering a way of reading and interrogating practices that feel careless or that seem to exploit rather than attend to the suffering of its participants and co-creators.
(Stuart Fisher 2020: 10)
Care may not necessarily be ‘good’ in itself. We need to remain critical about the use, abuse and potential over-use of the concept. Over the past year we have seen that the directive to ‘take care’ in a state of exception has become more than a friendly goodbye—it has become an order that enforces what Giorgio Agamben (2021) has called ‘techno-medical despotism’. Care is complicated. As well as having valuable connotations as outlined above, it is also being captured by commercial and neoliberal logics, with green and social washing as cynical performances of care that reinstall dynamics of dependence and conditionality (Ndikung 2021) or with self-care as a euphemism for fending for yourself. Hence, we need a critical approach to care more than ever: a situated, disruptive, yet committed intervention, a gesture that at once interferes in processes of suffering and devastation, and speculatively opens up alternative pathways. Care might, after more than a year of pandemic, first of all mean to repair: to heal environments and relations, interconnections and interdependencies, to rebuild worlds.
What can we do about this as artists, as academics and as members of various communities? What are we doing? As Zygmunt Bauman explains:
Reason cannot help the moral self without depriving that self of what makes the self moral: the unfounded, non-rational, un-arguable, no-excuses given, and non-calculable urge to stretch towards the other, to caress, to be for, to lie for, happen what may. (Bauman 1993: 247)
How, if at all, are we stretching towards one another? How are we ‘being for’, coping with and surviving with them? What kinds of acts of care and indeed carelessness have been taking place in public, in private, in secret? Ultimately, how do we reconsider the concept of care in the new world order? And furthermore: the becoming-endemic of the virus reminds us that practices of care exist in relation to the non-human. Since various influential publications in the 1980s and 1990s (for example, Gilligan 1982; Tronto 1993, 2013), care as a feminist ethical-political concept has developed well beyond its initial environment. The recent work of Maria Puig de la Bellacasa (2017) has brought care beyond the realm of the human to include relations and responsibilities for more-than-human species and other non-human entities or ecosystems.
What is care likely to be as we slowly emerge from COVID-19? Are we too tired to care? Has care been hijacked by social distancing, by illness and destruction and also by the media to become a vacuous idea? Could we care less? Or should we, and do we, care more than ever? We see broken lives, broken communities, broken structures (theatres, arts centres, businesses, educational and health sectors), increasing isolation and despair. We see a world crying out for care, for touch, for connection but one also constrained by rules about who can, who can’t—touch, care, connect, enter, leave—and how.
The theme of ‘On Care’ emerged from a week-long workshop at the Croatian National Theatre Ivan Zajc in Rijeka held from 3 to 7 June 2019. The Rijeka workshop was the initiative of the Croatian National Theatre, Rijeka; general manager and artistic director Marin Blažević; along with then vice-president of Performance Studies International (PSi) Professor Peter Eckersall. They invited fifteen international artists and academics to join them and colleagues in Rijeka to plan what was to be the 2020 PSi conference. The workshop was supported by the European Capital of Culture initiative and allowed the group to collaborate on developing a theme and a curatorial vision for the conference that would be held when Rijeka was European Capital of Culture in 2020. Of the many ideas and concepts workshopped that week the idea that the group—of which the editors of this issue were part—kept returning to was that of care. Questions and discussions swirled around this notion repeatedly, with the team eventually settling on ‘Crises of Care’ as the conference theme. Little did we know then that the term and actuality of crisis would become much more profound and widespread, leaching from concerns at that time with climate change, digital disruption, neo-liberal politics, precarity and issues concerning refugees and asylum seekers (among others) to the current situation where, while those crises remain, they have been amplified, extended and augmented by the pernicious force of COVID-19 and its far-reaching destruction. Nor did we know that the pandemic would engulf the idea of care, of society and of the possibility of a conference—that the world would be transformed, and that care would take centre stage in multiple and unexpected ways.
This issue invites articles, manifestos, position papers, interviews and artist pages that think through the idea and practice of care. Topics may include but are not limited to:
Caretaking and life stewardship
Aesthetics of care
Art as a caring apparatus
End of life care and COVID-19
The limits of care ethics
Who has the right to care?
The politics of over-caring
How to care critically
Academic work and social care
Curatorial and editorial care (or lack thereof)
The caring state or caring apparatuses of biopolitics
Rituals of self-care
Care and race/identity
Trans-species care
The appropriation of ‘care’ by the neo-liberal machine
The politics of caring or refusing to care
Care as relational responsibility
Care beyond life—beyond the human
Theatrical care: mask work and hand gestures
References
Agamben, Giorgio (2021) ‘Meet the philosopher who is trying to explain the pandemic’, New York Times, https://www.nytimes.com/2020/08/21/opinion/sunday/giorgio-agamben-philosophy-coronavirus.html, 21 August.
Bauman, Zygmunt (1993) Postmodern Ethics, London: Blackwell.
Gilligan, Carol (1982) In a Different Voice: Psychologial theory and women’s eevelopment, Cambridge, Mass: Harvard University Press.
Hamington, Maurice (2010) ‘The will to care: Performance, expectation, and imagination’, Hypatia 25(3): 675–95.
Ndikung, Bonaventure Soh Bejeng (2021) The Delusions of Care, Berlin: Archive Books.
Puig de la Bellacasa, Maria (2017) Matters of Care. Speculative ethics in more than human worlds, London and Minneapolis, MN: University of Minnesota Press.
Stuart Fisher, Amanda (2020) ‘Introduction: Caring performance, performing care’, in Amanda Stuart Fisher and James Thompson (eds), Performing Care: New perspectives on socially engaged performance, Manchester: Manchester University Press, pp.1-18.
Tronto, Joan C. (1993) Moral Boundaries: A political argument for an ethic of care, London: Routledge.
Tronto, Joan C. (2013) Caring Democracy: Markets, equality, and justice, New York, NY: NYU Press.
Schedule:
Proposals: 27 September
First drafts: 17 December
Final drafts: 11 February
Publication: June 2022
Issue contacts:
All proposals, submissions and general enquiries should be sent direct to Performance
Research at: info [arobas] performance-research [point] org
Please send 300–400 word proposals and a 100-word bio.
Issue-related enquiries should be directed to:
Helena Grehan, Murdoch University— H [point] Grehan [arobas] murdoch [point] edu [point] au
General Guidelines for Submissions:
Before submitting a proposal, we encourage you to visit our website (www.performance-research.org ) and familiarize yourself with the journal.
Proposals will be accepted by email (Microsoft Word or Rich Text Format (RTF)). Proposals should not exceed one A4 side.
Please include your surname in the file name of the document you send.
Please include the issue title and issue number in the subject line of your email.
Submission of images and other visual material is welcome provided that all attachments do not exceed 5 MB, and there is a maximum of five images. Copyright clearance remains the responsibility of the author.
Submission of a proposal will be taken to imply that it presents original, unpublished work not under consideration for publication elsewhere.
If your proposal is accepted, you will be invited to submit an article in first draft by the deadline indicated above. On the final acceptance of a completed article you will be asked to sign an author agreement in order for your work to be published in Performance Research.
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Programme DIALOGUE – Volet Relève étudiante 2021-2022
Les Fonds de Recherche du Québec lancent pour une troisième année consécutive le concours de bourse Dialogue visant à encourager les chercheurs et chercheuses ainsi que les étudiants et étudiantes des cycles supérieurs à mener des activités en communication scientifique auprès du grand public.
Date limite (avis ou lettre d’intention) : 7 octobre 2021 à 16h00.
Plus d’informations sur les dates butoir et l’admissibilité au programme.
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Call for contributions on the theme *Blockchain Scenes* for the Journal of Digital Social Research
This JDSR special issue has two goals: It aims to bring together empirical research on the social composition, organizational forms and material settings of blockchain scenes through various research methods (onsite ethnography, web ethnography, social network analysis; etc.); It also seeks innovative theoretical, analytical, and critical approaches to blockchain through the lens of scene studies.
Deadline to submit: October 15
More details on the themes and submission process.
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Call for next artistic director
Submission deadline: September 27, 5pm
The Biennale of Sydney are calling for Expressions of Interest (EOI) from experienced curators who are interested in being the Artistic Director of the 24th Biennale of Sydney (2024).
The Biennale of Sydney is a leading international contemporary art event. It plays an indispensable role in Australia’s engagement with the world, and a meaningful role in the life of the nation. For almost 50 years, the Biennale has been a unifying force in the Australian arts sector, embedding boldly creative art exhibitions and experiences in the everyday life of Sydney and putting the artistic excellence of Australia front and centre on the world stage.
Since 1973, the Biennale of Sydney has commissioned and presented the works of 1900 artists from all around the world, including 405 Australians in museums and public spaces across Sydney.
As we approach our 50th anniversary in 2023, we are seeking a highly motivated and dynamic Artistic Director—or Artistic Director team—that can lead the vision of the Biennale in this key moment in our history; someone that embodies our core values of being boldly creative, agile, collaborative and respectful in all that we do, with a commitment to place and keeping people connected through contemporary art and ideas.
If that could be you, please complete the Expression of Interest form including a short 500-word statement of intent, outlining your vision for the 2024 edition, along with a current copy of your CV.
Expressions of Interest must be submitted by 5pm AEST on Monday, September 27, 2021.
The Biennale of Sydney fosters a collaborative and respectful workplace culture, with a team as diverse as the exhibitions we present and the audiences who experience them. We actively encourage First Nations people, people from culturally and linguistically diverse backgrounds, LGBTQIA+ people, people with disability and those who have diverse experiences of our world to join the Biennale of Sydney team. We are committed to making reasonable adjustments to provide a positive, barrier-free recruitment process and supportive workplace. If you have support or access requirements, let us know in your application.
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Being Scene – Call for Curator
Deadline: Friday, September 24, 2021, at 5:00pm EST
Curator Fee: $5,000
Workman Arts is seeking a guest Curator (or team of Curators) to develop and curate a small group show of visual art/multimedia work as part of Being Scene 2022. We are looking for proposals that speak to the current social climate as it relates to mental health and/or addictions and continues to celebrate Workman member artists and artists with lived experience. Workman Arts supports proposals that offer to showcase artists’ most recent endeavours as well as works that incite conversation and promote a range of intersectional narratives. We are also encouraging proposals to outline ideas of how the group show can be exhibited as an in-person exhibition and/or virtually.
About Workman Arts:
Workman Arts is a multidisciplinary arts organization that promotes a greater understanding of mental health & addiction issues through creation & presentation. We support artists with lived experience through peer-to-peer arts education, public presentations & partnerships with the broader arts community. We offer these opportunities to a growing member base which consists of artists with varying levels of experience ranging from emerging to professional artists, in all forms of practices such as Media, Literary, Music, Theatre and Visual Arts. Member artists have an existing art practice and goals to further develop, professionalize and share their practice.
History of Being Scene:
The Being Scene exhibition began over 20 years ago on the grounds of the Centre for Addiction and Mental Health (CAMH). Every year, Being Scene exhibits a juried survey of over 100 artworks by Workman Arts member artists as well as artists with lived experience who have received services from CAMH. Last year, Workman Arts introduced a smaller curated exhibition as part of the overall exhibit. Working closely with a guest curator, artists gave shape to compelling ideas and narratives, covering a wide range of conceptual and material approaches from diverse experiences. Due to the pandemic the exhibition was completely virtual. The exhibition space for Being Scene 2022 has not been chosen, however in the past Being Scene was shown in spaces such as The Gladstone Hotel, Toronto Media Arts Centre (TMAC) and at CAMH. Going forward, Being Scene will continue to thrive in local spaces and online.
Upload proposals and other relevant information to this online form by Friday, September 24, 2021, at 5:00pm EST.
If this is a barrier, please contact Paulina Wiszowata for submission alternatives.
Workman Arts has identified equity and anti-oppression as strategic priorities and strongly encourages qualified applicants from diverse communities to apply and self-identify in their proposals. We welcome & encourage proposals from applicants who are Indigenous, Black, people of color, women, 2SLGBTQ+, people with disabilities, and/or are members of other marginalized groups.
Workman Arts’ office is mobility device accessible, which includes level entrances and ramps, accessible washrooms, wide and unobstructed pathways within the interior, elevators to access multiple levels, automatic doors and accessible parking. There is a gender-neutral washroom available. Though the selected guest curator will be primarily working remotely, we are open to accommodating any accessibility needs.
Questions? Please visit workmanarts.com or contact: paulina_wiszowata [arobas] workmanarts [point] com
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Vie des arts
Date de tombée : 4 octobre 2021
No 265 : Rubriques récurrentes non thématiques
Vous avez vu une exposition, assisté à un événement ou une manifestation artistique, lu un livre sur l’art publié récemment, ou vous voulez nous faire part d’un enjeu concernant les arts qui vous tient à cœur ? Envoyez-nous vos intentions pour la rédaction d’un article pour les rubriques récurrentes non thématiques suivantes :
Perspectives : nouvelles brèves collées à l’actualité des arts visuels au Québec et au Canada. Le style d’écriture est plus informatif qu’analytique, et les textes sont écrits de manière à mettre en perspective un enjeu d’actualité ciblé (portée sociale, politique ou collective d’un sujet sur l’art) ou font part d’une nouveauté du milieu de l’art (prix, nominations, nouveaux programmes, etc.).
Visites : couvertures d’expositions ou d’événements en cours ou terminés au plus tard deux mois avant la date limite de l’appel de propositions actif. L’objectif de ces couvertures est de faire comprendre les thèmes soulevés par l’exposition ou l’événement, en relation avec le corpus des artistes. L’autrice ou l’auteur est invité à développer un point de vue original sur les œuvres et faire preuve d’un engagement discursif avec son sujet en orientant son propos autour d’une idée ciblée et en évitant une approche strictement descriptive. L’utilisation de citations et de concepts théoriques est suggérée pour appuyer la discussion des œuvres, et l’emploi des notes de bas de page doit être limité.
Lectures : comptes rendus d’une publication sur l’art parue au courant de la dernière année. Le style d’écriture prend la forme d’un commentaire résumant l’ouvrage et le situant dans le contexte actuel.
Vie des arts priorise les propositions de sujets qui reflètent l’écriture de son autrice ou de son auteur : en d’autres termes, votre proposition doit être dynamique et nous donner un aperçu de votre style de rédaction !
Toutes les soumissions pour les rubriques récurrentes non thématiques doivent inclure le sujet anticipé selon la rubrique envisagée, ainsi qu’une description de l’angle critique qui sera utilisé pour la rédaction (250 mots), trois extraits de textes antérieurs (publiés ou non) ainsi qu’une courte biographie de l’autrice ou de l’auteur (40 mots), et être envoyées à redaction [arobas] viedesarts [point] com avant le 4 octobre 2021. Nous ferons un suivi avec les propositions pressenties et les textes finaux, suivant l’entente préalablement prise avec la rédaction, devront être rendus au courant du mois de novembre 2021. Veuillez noter que les propositions d’artistes portant sur leur propre travail seront refusées.
No 266 : Dossier « TEXTE/ŒUVRE »
L’usage d’un langage écrit ou oral dans les arts visuels n’est pas nouveau. Il a été particulièrement porteur pour l’art conceptuel (certains auteurs parlent d’un tournant linguistique de l’art1), et était employé comme matériau en lui-même qui amenait à sa propre déconstruction et reconstruction. Le texte joint à l’œuvre enrichit sa signification, soit il en fait pleinement partie soit qu’il s’y annexe, comme autant de manières de dénoter l’image ou d’y ajouter une connotation. Si une partie de l’art conceptuel a soutenu une sorte de désubjectivisation de l’écriture qui s’attelait plutôt à critiquer le langage de l’art lui-même2, les artistes trouvent aujourd’hui dans le texte un lieu pour faire advenir leur narratif personnel et faire vivre des récits et mythes joignant leur création à leur réalité quotidienne. Comme méthode de création, le langage permet de réinterpréter sa subjectivité comme élément porteur : par l’acte de nommer, de dire et d’énoncer, les artistes sculptent le réel tant le langage a une puissance performative qui est forte. Provenant aussi de tout cet héritage riche de l’art comme chambre d’écho d’expériences intimes et comme langage performatif, les pratiques artistiques faisant usage du texte ou de l’écriture révèlent désormais une intention de se faire entendre.
Bénéficiant d’une longue tradition en art – nous pourrions aussi esquisser l’influence mutuelle de la littérature sur les arts visuels et vice versa –, le langage est employé comme matière (le signe, la voix), comme médium (inclusion du texte dans les œuvres), ou comme mode de création axé sur la communication (correspondance, art postal, dialogue, traduction). La résurgence forte qu’on observe en art contemporain et actuel pour l’usage des mots et du texte s’inscrit dans cette lignée, mais est aussi portée par des artistes-auteurs qui font de la textualité une approche à part entière : apparaissent ainsi des pratiques investiguant le livre comme objet artistique, ou se déployant dans l’exposition en considérant cet espace comme un texte en lui-même, à lire ou à écrire. La textualité s’incarne dans des formes intermédiales, parfois performatives ou citationnelles, supportée notamment par une complexification des modalités de lecture d’une œuvre au regard de la mutation du champ des communications et de l’information. Employé dans des démarches faisant écho aux postures féministes, anti-racistes et décoloniales désormais centrales à la création contemporaine, la textualité en tant que méthode d’énonciation en arts trouble les lieux communs pour faire émerger des significations décentralisant les récits dominants. En même temps, on cherche dans le langage l’énonciation et la réception d’affects ou d’émotions qui seraient traduites en d’autres formes communicantes. Dans les arts, le texte s’incarne en des formes visuelles ou ressenties, qu’il soit porté dans l’oralité, la tactilité ou la gestualité, il peut aussi intervenir pour combler les failles de l’oculocentrisme : il advient parfois en tant que traduction de ce que perçoit le sens de la vue. Le texte peut être lu autant qu’il peut être dit, entendu, touché, sculpté, écrit. Au mieux, les mots fonctionnent comme des systèmes de significations qui contredisent le régime langagier ou le régime visuel d’une œuvre d’art : les artistes joueront ainsi avec le sous-titrage et la description visuelle, faisant émerger une dissonance entre les mots, les choses, leur contexte de lecture et d’énonciation, pour ouvrir les possibles sens d’une œuvre d’art comme objet sémiotique, voire situé dans une expérience singulière. Quelle(s) position(s) les mots en arts permettent-ils de prendre ? Se dégage-t-il une tendance chez les artistes en faisant l’usage ? Quel est l’apport du texte dans des œuvres intermédiales ? Comment envisager des formes artistiques qui pourraient se lire, ou des expositions en tant que textes ?
Le dossier thématique « TEXTE/ŒUVRE » vise ainsi à regrouper des articles qui investiguent les formes que prennent le texte, les mots et leur traduction dans l’art contemporain et actuel en tant que systèmes sémiologiques. Ces procédés riches cristallisent des récits collectifs qui, eux, ajoutent à l’œuvre d’art une complexité de significations à comprendre à partir de lieux précis et situés, prenant en compte l’expérience individuelle, affective et émotive comme autant de nuances des sens communs. À l’œuvre peut s’ajouter un langage écrit ou oral qui valide, complète ou contredit les signaux visuels ou sensitifs, et dans les contradictions possibles entre les différents régimes de langage d’une œuvre réside sa nature intermédiale et communicante. Les autrices et auteurs pourraient ainsi s’intéresser aux pratiques de collages alliant texte et image (digitale ou non), aux pratiques motivées par une traduction des sens pour l’accessibilité ou à l’écriture tactile comme forme artistique, aux pratiques épistolaires ou d’art postal informées par une écriture affective ou personnelle, aux pratiques se cristallisant en tant que livre, à celles procédant au détournement du langage digital et des codes de communications électroniques – courriels, textos, clavardage, émoticônes ou ceux caractérisés par des possibilités de réinterprétation multiple tels les mèmes –, enfin à la mise en espace des mots et du texte en contexte d’exposition et de participation à l’œuvre.
Toutes les soumissions pour le dossier doivent comprendre une proposition de texte en lien avec la thématique, incluant le sujet anticipé (350 mots), la liste des artistes et des œuvres qui seront analysés dans le texte, trois extraits de textes antérieurs (publiés ou non) ainsi qu’une courte biographie de l’autrice ou de l’auteur (40 mots), et être envoyées à redaction [arobas] viedesarts [point] com avant le 4 octobre 2021. Nous ferons un suivi avec les propositions pressenties, et les textes finaux, suivant l’entente préalablement prise avec la rédaction, devront être rendus au courant du mois de janvier 2022.
Les propositions pour les portraits d’artistes doivent désormais répondre au thème annoncé du dossier thématique.
Veuillez noter que les propositions d’artistes portant sur leur propre travail ne seront pas considérées.
Dans l’optique de favoriser une pluralité de voix et de regards sur l’art actuel, Vie des arts souhaite lancer une invitation spécifique, mais non exclusive, aux personnes autochtones et racisées afin qu’elles puissent soumettre une proposition d’article.
Date de tombée : 4 octobre 2021
No 265 : Rubriques récurrentes non thématiques
Vous avez vu une exposition, assisté à un événement ou une manifestation artistique, lu un livre sur l’art publié récemment, ou vous voulez nous faire part d’un enjeu concernant les arts qui vous tient à cœur ? Envoyez-nous vos intentions pour la rédaction d’un article pour les rubriques récurrentes non thématiques suivantes :
Perspectives : nouvelles brèves collées à l’actualité des arts visuels au Québec et au Canada. Le style d’écriture est plus informatif qu’analytique, et les textes sont écrits de manière à mettre en perspective un enjeu d’actualité ciblé (portée sociale, politique ou collective d’un sujet sur l’art) ou font part d’une nouveauté du milieu de l’art (prix, nominations, nouveaux programmes, etc.).
Visites : couvertures d’expositions ou d’événements en cours ou terminés au plus tard deux mois avant la date limite de l’appel de propositions actif. L’objectif de ces couvertures est de faire comprendre les thèmes soulevés par l’exposition ou l’événement, en relation avec le corpus des artistes. L’autrice ou l’auteur est invité à développer un point de vue original sur les œuvres et faire preuve d’un engagement discursif avec son sujet en orientant son propos autour d’une idée ciblée et en évitant une approche strictement descriptive. L’utilisation de citations et de concepts théoriques est suggérée pour appuyer la discussion des œuvres, et l’emploi des notes de bas de page doit être limité.
Lectures : comptes rendus d’une publication sur l’art parue au courant de la dernière année. Le style d’écriture prend la forme d’un commentaire résumant l’ouvrage et le situant dans le contexte actuel.
Vie des arts priorise les propositions de sujets qui reflètent l’écriture de son autrice ou de son auteur : en d’autres termes, votre proposition doit être dynamique et nous donner un aperçu de votre style de rédaction !
Toutes les soumissions pour les rubriques récurrentes non thématiques doivent inclure le sujet anticipé selon la rubrique envisagée, ainsi qu’une description de l’angle critique qui sera utilisé pour la rédaction (250 mots), trois extraits de textes antérieurs (publiés ou non) ainsi qu’une courte biographie de l’autrice ou de l’auteur (40 mots), et être envoyées à redaction [arobas] viedesarts [point] com avant le 4 octobre 2021. Nous ferons un suivi avec les propositions pressenties et les textes finaux, suivant l’entente préalablement prise avec la rédaction, devront être rendus au courant du mois de novembre 2021. Veuillez noter que les propositions d’artistes portant sur leur propre travail seront refusées.
No 266 : Dossier « TEXTE/ŒUVRE »
L’usage d’un langage écrit ou oral dans les arts visuels n’est pas nouveau. Il a été particulièrement porteur pour l’art conceptuel (certains auteurs parlent d’un tournant linguistique de l’art1), et était employé comme matériau en lui-même qui amenait à sa propre déconstruction et reconstruction. Le texte joint à l’œuvre enrichit sa signification, soit il en fait pleinement partie soit qu’il s’y annexe, comme autant de manières de dénoter l’image ou d’y ajouter une connotation. Si une partie de l’art conceptuel a soutenu une sorte de désubjectivisation de l’écriture qui s’attelait plutôt à critiquer le langage de l’art lui-même2, les artistes trouvent aujourd’hui dans le texte un lieu pour faire advenir leur narratif personnel et faire vivre des récits et mythes joignant leur création à leur réalité quotidienne. Comme méthode de création, le langage permet de réinterpréter sa subjectivité comme élément porteur : par l’acte de nommer, de dire et d’énoncer, les artistes sculptent le réel tant le langage a une puissance performative qui est forte. Provenant aussi de tout cet héritage riche de l’art comme chambre d’écho d’expériences intimes et comme langage performatif, les pratiques artistiques faisant usage du texte ou de l’écriture révèlent désormais une intention de se faire entendre.
Bénéficiant d’une longue tradition en art – nous pourrions aussi esquisser l’influence mutuelle de la littérature sur les arts visuels et vice versa –, le langage est employé comme matière (le signe, la voix), comme médium (inclusion du texte dans les œuvres), ou comme mode de création axé sur la communication (correspondance, art postal, dialogue, traduction). La résurgence forte qu’on observe en art contemporain et actuel pour l’usage des mots et du texte s’inscrit dans cette lignée, mais est aussi portée par des artistes-auteurs qui font de la textualité une approche à part entière : apparaissent ainsi des pratiques investiguant le livre comme objet artistique, ou se déployant dans l’exposition en considérant cet espace comme un texte en lui-même, à lire ou à écrire. La textualité s’incarne dans des formes intermédiales, parfois performatives ou citationnelles, supportée notamment par une complexification des modalités de lecture d’une œuvre au regard de la mutation du champ des communications et de l’information. Employé dans des démarches faisant écho aux postures féministes, anti-racistes et décoloniales désormais centrales à la création contemporaine, la textualité en tant que méthode d’énonciation en arts trouble les lieux communs pour faire émerger des significations décentralisant les récits dominants. En même temps, on cherche dans le langage l’énonciation et la réception d’affects ou d’émotions qui seraient traduites en d’autres formes communicantes. Dans les arts, le texte s’incarne en des formes visuelles ou ressenties, qu’il soit porté dans l’oralité, la tactilité ou la gestualité, il peut aussi intervenir pour combler les failles de l’oculocentrisme : il advient parfois en tant que traduction de ce que perçoit le sens de la vue. Le texte peut être lu autant qu’il peut être dit, entendu, touché, sculpté, écrit. Au mieux, les mots fonctionnent comme des systèmes de significations qui contredisent le régime langagier ou le régime visuel d’une œuvre d’art : les artistes joueront ainsi avec le sous-titrage et la description visuelle, faisant émerger une dissonance entre les mots, les choses, leur contexte de lecture et d’énonciation, pour ouvrir les possibles sens d’une œuvre d’art comme objet sémiotique, voire situé dans une expérience singulière. Quelle(s) position(s) les mots en arts permettent-ils de prendre ? Se dégage-t-il une tendance chez les artistes en faisant l’usage ? Quel est l’apport du texte dans des œuvres intermédiales ? Comment envisager des formes artistiques qui pourraient se lire, ou des expositions en tant que textes ?
Le dossier thématique « TEXTE/ŒUVRE » vise ainsi à regrouper des articles qui investiguent les formes que prennent le texte, les mots et leur traduction dans l’art contemporain et actuel en tant que systèmes sémiologiques. Ces procédés riches cristallisent des récits collectifs qui, eux, ajoutent à l’œuvre d’art une complexité de significations à comprendre à partir de lieux précis et situés, prenant en compte l’expérience individuelle, affective et émotive comme autant de nuances des sens communs. À l’œuvre peut s’ajouter un langage écrit ou oral qui valide, complète ou contredit les signaux visuels ou sensitifs, et dans les contradictions possibles entre les différents régimes de langage d’une œuvre réside sa nature intermédiale et communicante. Les autrices et auteurs pourraient ainsi s’intéresser aux pratiques de collages alliant texte et image (digitale ou non), aux pratiques motivées par une traduction des sens pour l’accessibilité ou à l’écriture tactile comme forme artistique, aux pratiques épistolaires ou d’art postal informées par une écriture affective ou personnelle, aux pratiques se cristallisant en tant que livre, à celles procédant au détournement du langage digital et des codes de communications électroniques – courriels, textos, clavardage, émoticônes ou ceux caractérisés par des possibilités de réinterprétation multiple tels les mèmes –, enfin à la mise en espace des mots et du texte en contexte d’exposition et de participation à l’œuvre.
Toutes les soumissions pour le dossier doivent comprendre une proposition de texte en lien avec la thématique, incluant le sujet anticipé (350 mots), la liste des artistes et des œuvres qui seront analysés dans le texte, trois extraits de textes antérieurs (publiés ou non) ainsi qu’une courte biographie de l’autrice ou de l’auteur (40 mots), et être envoyées à redaction [arobas] viedesarts [point] com avant le 4 octobre 2021. Nous ferons un suivi avec les propositions pressenties, et les textes finaux, suivant l’entente préalablement prise avec la rédaction, devront être rendus au courant du mois de janvier 2022.
Les propositions pour les portraits d’artistes doivent désormais répondre au thème annoncé du dossier thématique.
Veuillez noter que les propositions d’artistes portant sur leur propre travail ne seront pas considérées.
Dans l’optique de favoriser une pluralité de voix et de regards sur l’art actuel, Vie des arts souhaite lancer une invitation spécifique, mais non exclusive, aux personnes autochtones et racisées afin qu’elles puissent soumettre une proposition d’article.
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DATE LIMITE / 1ER NOVEMBRE 2021
Le Centre CLARK invite les artistes, les collectifs et les commissaires à soumettre un projet d’exposition pour notre appel de dossiers général. Qu’il s’agisse d’exposer les œuvres d’artistes émergents ou aguerris, locaux ou internationaux, CLARK soutient une pluralité d’approches et de pratiques artistiques novatrices et expérimentales. Notre programmation annuelle présente une multiplicité de voix, de perspectives, d’héritages, de points de vue et d’expériences qui se traduisent en autant de formes d’art actuel. Cette multiplicité se concrétise entre autres par l’inclusion d’une pluralité culturelle, par l’échange intergénérationnel et par l’équité des genres.
TOUS LES DÉTAILS ICI :
https://centreclark.com/fr/galerie/
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esse art + opinion
No. 105 – Dossier Nouvel nouvel age
Date de tombée : 10 janvier 2022
Tel un spectre malicieux ou une force surnaturelle indocile, la résurgence ponctuelle des croyances occultes – sorcellerie, divination, astrologie, magie, alchimie – hante depuis toujours l’histoire de l’humanité. Tour à tour ennemi du Christianisme, pierre d’achoppement de la logique kantienne ou carrément menace du patriarcat (la sorcière étant une figure « maléfique » puissante largement revendiquée par les féministes), cet engouement sporadique pour le mystique et ses innombrables déclinaisons semble être le symptôme tangible d’une lassitude sourde face à l’ordre établi et aux systèmes de pensée hégémoniques. Aujourd’hui encore, l’intérêt renouvelé pour le mysticisme et les modalités d’agentivité et de pouvoir parallèles qu’il suggère se fait l’écho de l’inertie politique générale. Des concoctions hormonales « faites maison » aux pratiques animistes antispécistes, les multiples stratégies offertes par ce nouvel nouvel âge, comme nous serions tenté·e·s de le nommer à la suite du mouvement contre-culturel occidental des années 1970, répondent au besoin pressant d’agir hors d’un néolibéralisme qui tue, petit à petit, notre planète et les relationalités qui s’y jouent. Mais bien plus qu’une simple riposte ésotérique, l’existence de forces occultes – ou de forces théoriquement inexplicables – semble désormais entérinée par la science elle-même, à preuve les récentes découvertes de la mécanique quantique et des états presque « magiques » de la matière, ouvrant toute grande la porte au mysticisme quantique ! Si l’occulte séduit et fait peur tout à la fois, c’est qu’il ne peut être assujetti, qu’il n’a de cesse de se dérober au sens commun.
[…] Figure incontournable de ces croisements disciplinaires et icône iconoclaste par excellence pour nombre d’artistes actuel·le·s, la sorcière est d’ailleurs une source incontournable d’inspiration. Guérisseuse, chamane, alchimiste, herboriste, magicienne et sybille, la sorcière appelle à une décolonisation des savoirs et de la spiritualité, à l’effritement du patriarcat et du capitalisme, à une affinité intime avec la nature et le cosmos, au métissage des arts et de l’artisanat, du politique et du magique. Loin d’être la seule à caractériser ce nouvel nouvel âge, la sorcière s’accompagne d’une multiplicité d’entités réelles et imaginaires, de méthodologies queers, de posture antispécistes et de formes de création hybride repoussant toujours davantage les frontières de l’art. À la lumière des perspectives ouvertes par ce nouvel nouvel âge, ce dossier cherche à explorer les croisements entre ces approches multiformes de l’occulte et de la spiritualité 2.0 et les pratiques artistiques actuelles.